Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 18

Haletante, exténuée par les violentes vagues de jouissances qu’elle vient de vivre, Élodie reprend petit à petit pied dans la réalité. Elle se relève, le cul suintant de sperme, et tente de se dépêcher à nettoyer toute trace du passage du beau gosse dans ses trous. Lorsqu’elle coupe enfin le flot d’eau bouillante, elle prend conscience de ce qui vient de se passer en ramassant les cinq capotes ouvertes et vidées de leur contenu.

Non seulement elle doit se grouiller de tout ranger pour récupérer son colis dont elle ignore le contenu, mais la voilà en plus en retard pour compléter le défi de son maître chanteur. Elle va devoir sortir ce soir pour récolter tout le sperme manquant afin de terminer son cumcicle. Ses parents peuvent arriver d’un moment à l’autre et elle encore à poil le cul éclaté dans la salle d’eau, désespérée, la gamine cherche son phone dans l’idée d’appeler sa mère et lui demander un truc impossible pour retarder son retour.

Seulement voilà, l’adolescente ne retrouve pas son smartphone, elle ne se doute même pas que c’est l’égarement de se dernier dans la cuisine qui a mené son bel étalon à lui défoncer les trous. Entièrement nue, Élodie traverse le salon en plein désarroi, elle repère son appareil sur le bar séparant la cuisine du salon, laissé déverrouillé juste à côté du colis livré par Franck. Les cheveux encore trempés, louboutins et raz le cou à la main, la gamine a juste le temps de récupérer colis et smartphone et de s’éclipser dans son couloir, lorsqu’elle entend la porte d’entrée s’ouvrir sur ses parents apparemment de bonne humeur après une longue journée de travail.

La gamine s'enferme dans sa chambre, à bout de souffle, rouge comme une pivoine d’être passer à deux doigts de se faire choper, et les battements de son coeur explosant littéralement dans ses tempes. Elle sursaute soudain et ne peut retenir un cri de surprise lorsque son téléphone vibre dans sa main, sa mère inquiète toque à sa porte:

-Elo? Ca va ma chérie?

-Oui oui ….

Euh c’est rien maman, je dois répondre, excuse moi …. Oui? Allo? …. Oui c’est moi! …. Ah bonjour Mr. Chevaleraud …. Oui c’est ça! …. Non? Vraiment? …. Super, génial merci, oui merci …. Oui pas de soucis, je serai là demain matin à 10h00! …. Merci encore, z’êtes trop super!

Elle raccroche et enfile vite fait petit haut serré et mini string avant de se précipiter dans le salon:

-Maman, maman, c’est bon j’ai décroché un entretien pour demain matin!

-Super ma puce! Sa mère reste soudain interdite …. Mais c’est quoi cette tenue?

-Oh ça? Nan c’est rien j’ai juste chopé ce qui traînait dans ma chambre pour venir t’annoncer la bonne nouvelle!

-Ouais, reste pas trop comme ça quand même! …. Et elle change de sujet …. Et c’est pour quoi faire alors?

-Ben …. Euh, j’ai pas trop saisi, mais apparemment c’est pour aider des personnes en réinsertion sociale dans une petite boîte pas loin. Il aurait besoin de jeunes pour être plus dans le coup! …. Bref! Trop bien, je suis trop contente, en plus ça me f’ra une expérience dans le social!

Étonnamment, Martine ne renchérit pas sur la tenue très légère de sa fille, et n’en rajoute pas non plus lorsque Serge entre dans le salon. Par contre, lui, semble avoir d’autres sujets à traiter:

-Dis moi Elo, c’est quoi ce foutoir dans la salle de bain?

“Putain c’est vrai j’ai rien eu le temps de ranger!”

-En fait …. Euuuh …. Et à ce moment, l’idée clique dans son esprit juvénil, et rebondissant sur le “Euuuh” traînant en longueur, la gamine fait une moue coupable à ses parents, avant d’ajouter; C’est que je prenais ma douche “tranquille” quand mon phone a sonné, et comme je l’avais oublié, je suis sortie vite fait pour répondre …. mais comme j’étais pas trop présentable lorsque vous êtes rentrés, je me suis planqué dans ma chambre pour répondre!

Elle fait une pose, observe les adultes: vont-ils gober son bobard? Vont-ils repérer les incohérences? Élodie voit sa mère prendre sa respiration comme si elle allait prendre la parole, mais se ravise et conclut:

-Bon allez file ranger et finir de te préparer! Tu manges à la maison ce soir?

-Euh ….
Sa mère la prend un peu au dépourvu, mais elle doit de toute façon aller refaire le plein de foutre! …. Non en fait je vais sûrement sortir! Je file me préparer du coup?

-Mais rentre pas trop tard, hein? T’as ton entretien demain!

-Ah oui? Un entretien?

-Oui c’est bon j’te raconterai! ….Allez file! Conclut Martine à l’attention de sa fille.

Avant de retourner se préparer, Élodie, soulagée de ne pas s’être faite grillée, repense au colis que lui a livré Franck un peu plus tôt. La gamine retourne dans sa chambre, curieuse de ce que peut contenir le paquet, sûrement envoyé par son maître chanteur. Ces derniers temps, elle a appris à apprécier les cadeaux du corbeau, et lorsqu’elle ouvre enfin la boîte en carton dans sa chambre, elle est tout de même un peu surprise.


L’adolescente étale le contenu sur son lit; une paire de dim’up noirs, un raz le cou fin en cuir dont le fermoir s’articule autour d’un petit anneau en acier frotté, un imper ¾ beige sans bouton qui se ferme sur la taille par une ceinture incorporée au vêtement, un paire de cuissardes vertigineuses, un drôle de vêtement, ou plutôt un sous vêtement composé d’un long V en dentelle qu’elle suppose devoir porter sur le devant de la poitrine:


Élodie en attache le fermoir derrière sa nuque, qu’elle a dégagé en un queue de cheval tendue haut sur le crâne. Elle passe ensuite la ficelle de la pointe du V entre ses cuisses, afin d’y attacher les deux lacets plaquant les deux lames de dentelles sur son 85 D. Alors qu’elle galère à maintenir les pans de dentelle en place, la jeune adolescente se rend compte qu’il reste une boîte fermée dans le colis.

A moitié nue, elle abandonne un instant son combat contre le body transparent et s’assoit sur son lit pour vider le contenu du carton. Elle y découvre une sorte de collier de perles colorées et serties sur une chaînette terminée par deux petites boucles, trop court pour être un collier, la belle conclue assez rapidement que le deux boucles coulissantes ont la bonne taille pour emprisonner les pointes de ses tétons qui durcissent instantanément à l’idée de porter un tel bijou.
Élodie écarte le voile fin qui couvre ses gros seins en poire et humidifie ses doigts afin de titiller et faire pointer ses tétons. La gamine emprisonne les pointes de chair gonflées et gémit en se mordant les lèvres lorsque les pinces font leur office.

Les pointes ainsi serties garde un aplomb tendu et gonflé qui ressort en surimpression sur la dentelle noire à nouveau tendue sur ses grosses mamelles. L’adolescente complète son “costume” en prenant garde de ne pas filer les dim’up qu’elle couvre soigneusement de ses longues cuissardes, épousant parfaitement le galbe de ses jambes musclées. Elle parfait son apparence en clipsant le raz le cou en cuir et en chaussant ses lunettes sur son petit nez retroussé.



Lorsqu’elle finit par attr le bout de papier au fond de la boîte, elle y découvre un oeuf étrange. Les instructions de la note sont très claires; la jeune fille doit appairer l’oeuf avec son smartphone et en donner le contrôle à son maître chanteur, comme elle l’avait déjà fait avec les boules de geisha vibrantes. Sans surprise l’oeuf vibre lorsqu’il est sous le contrôle du corbeau et le message conclut en contraignant la belle brune à porter l’oeuf vibrant au fond de sa chatte pour le reste de la soirée.

Son costume, la taille de l’oeuf vibrant, l’idée de sortir accoutrée de la sorte, font naître une certaine excitation au creux de son ventre plat. Elle n’a même pas besoin de lubrifier le jouet sexuel tellement ses lèvres vaginales gonflées sont déjà complètement humides de cyprine. Elle glisse le jouet au fond de ses muqueuses, l’excitation faisant encore gonfler ses tétons emprisonnés sous le fin voile de dentelle. La double sensation électrise la belle qui crève d’envie de ses faire prendre par une belle bite. Apparaît alors le beau Franck dans son esprit embrumé de désir sexuel, c’est alors que son snap s’active: C’est Franck justement.

Fébrile, et sans nouvel du bellâtre depuis qu’il l’a prise comme une bête sauvage dans la salle de bain, elle ouvre le snap.
C’est un Bimoji le représentant allongé à la romaine sur le coude avec le caption “SEXY TIME”, suivi instantanément d’une photo de sa bite tendue et d’un message “On pense à toi et à ton p’ti cul!” Élodie sourit, elle avait eu peur que le bellâtre ne la contacte plus une fois la pression de leur baise retombée.

C’est à ce moment que lui revient à l’esprit qu’elle doit encore remplir au moins 10 caoptes de foutre avant la fin de la soirée, si elle veut que le cumcicle soit complet pour le lendemain. L’adolescente met alors son plan en route, elle contacte Romuald, c’est sa meilleure chance de trouver dix queues pour faire le plein de foutre, et en plus sa grosse matraque lui manque. Dans son état, la brunette se ferait bien démonter par le grand black et sa grosse trique, elle est même prête à faire la route jusqu’en Normandie tellement elle est chaude dans son petit costume de salope à 5€, et l’oeuf planté dans sa chatte frémissante.

Alors qu’elle tente de joindre le géant d’ébène, elle prend un snap coquin d’elle dans son miroir plein pied en cachant la moitié de son corps avec les pans de l’imper. Elle partage la photo avec le beau Franck avant de tenter à nouveau de joindre Romu, il décroche:

-Ouais? Qu’est-ce que tu veux? J’suis occupé là!

-Oh ça va! Bonsoir à toi aussi! Si elle n’avait pas autant besoin de lui, elle aurait raccrocher directement ….

Elle tente de l’amadouer:

-Je me demandais s’que vous foutiez ce soir, toi et ta grosse queue?

-Ah ouais? Ben ramène ton p’ti cul d’blanche! J’t’envoies l’adresse! Et il raccroche.

*PING!*

“Stains? Putain! Mais qu’est-ce qu’il fout là-bas?” Hors de question qu’elle prenne le RER dans cette tenue, elle n’a pas envie de faire la colonne d’un article de faits divers, elle voit déjà le titre: “Viol en réunion d’une jeune fille dans le RER” Elle commande alors un Uber “5 minutes? Pas mal!” Elle a juste le temps de prendre une petite pochette en tissu dans laquelle elle fourre une poignée de capotes, son gode à manche et le petit gode ventouse; “On sait jamais?” se dit-elle en souriant à son reflet.

Élodie attache la ceinture de taille de son ¾ en un double noeud mais reste inquiète par la précarité de la fermeture de son vêtement. Il lui suffit de se pencher en avant pour que le col en V lâche ne révèle la fine dentelle et la forme généreuse de ses gros seins. Par ailleurs, elle doit garder autant que possible ses mains dans les poches afin de maintenir les pans du vêtement sur son intimité. Elle sait que le V de son body descend jusqu’à la limite de son pubis imberbe. La pointe du V recouvre tout juste son clitoris et s’ouvre sur l’entrejambe pour laisser libre accès à sa vulve et à sa pastille striée.

“Putain, mais je suis complètement tarée!” Se dit-elle avant de sortir discrètement de sa chambre pour se rendre dans la rue et rejoindre son chauffeur qui l’attend déjà. Elle a pris soin de ne pas alerter ses parents afin d’éviter leur regard sur sa tenue. Assis sur la banquette en cuir, elle envoie un SMS à Martine pour la prévenir qu’elle est partie, maintenant qu’elle a donné l’adresse au chauffeur, un gros moustachu en chemise froissée et dont les auréoles de sueur trahissent une longue journée de travail.

Le VTC s’engouffre dans la nuit, et peine le véhicule s’est mis en marche qu’un grondement sourd commence à faire vibrer les chairs tendres de la gamine.

-HUMPH …. Hannn ….

Surprise, la gamine a tout juste le temps de plaquer sa main gauche sur sa bouche et contenir un petit couinement de plaisir:

-HUUUUUN ….

“Oh la vache! Putain! C’est quoi ce truc?” Elle se mord la lèvre inférieur et dandine un eu du cul pour trouver une position …. Mais laquelle? L’oeuf est tellement ancré en elle que le moindre mouvement déclenche de nouvelles décharges de plaisir intense qui se propagent dans le creux de son ventre. Élodie frisonne de plaisir malgré elle, les pointes de ses tétons déjà comprimé dans les anneaux de la petite chaîne durcissent et gonfle, doublant le plaisir qu’elle subit.

La gamine se cambre contre le dossier afin de soulager au mieux ses lèvres gonflant et suintant légèrement de plaisir sur l’assise de la banquette. Le chauffeur est un peu intrigué par les gémissements et les mouvements chaotiques de sa jeune passagère. Il s’est fait sa propre idée de ce qu’un si beau brin de jeune fille va faire dans ce genre de cité flanquée qu’elle est de cette magnifique paire de cuissarde. “Elle doit sûrement retourner chez son Mac après une passe!”:

-Vous allez bien mademoiselle?

Les vibrations continues, aux fréquences variables désarçonne la gamine qui reprend conscience de la présence du chauffeur. Elle tente de répondre, en se concentrant sur sa respiration pour contenir sa jouissance grandissante:

-Hun …. Oui oui, ne vous inquiêêêtez pas!

La secousse d’un nid de poule vient de déclencher une nouvelle vague électrisant instantanément le jeune corps d‘Élodie en proie aux vagues de plus en plus intenses qui la secouent.

*PING* Son téléphone la rappelle à l’ordre: <Allez petite salope, où que tu sois, branles toi pour moi et fait moi un vocal que je puisse entendre tes chairs détrempées et tes petits gémissements de putain!>

“Oh non, putain! C’est pas possible? Pas maintenant!” Se dit la belle brune en croisant le regard du chauffeur dans son rétroviseur, alors qu’il s’engage sur l’A1. A peine a-t’elle terminer la phrase dans sa tête que le vibro dans sa chatte accélère en intensité et en fréquences:

-Oooooooohhhhh ….

La belle brune ferme à moitié ses yeux, brillants dans la nuit, de désir pour une bonne grosse bite bien dure! Dans une demi conscience, elle approche son smartphone et commence à enregistrer ses gémissements alors que le moustachu la mate sans vergogne. Élodie glisse sa main droite sous les plis de son imper et caresse sa fente huileuse du bout des doigts. Elle sent les vibrations chatouiller le bout de ses doigts en se propageant à travers ses muqueuses vaginales gonflées et humides. Elle ne peut retenir ses couinements de plaisir lorsqu’elle glisse sa main gauche dans l'échancrure de son décolleté, puis sous le doux voile de dentelle afin de faire rouler son tétons gonflés et prisonniers entre ses doigts agiles.

Les pointes de ses seins sont rendu ultra sensible par le pincement continu des noeuds coulant de la chaînette. Le moindre frôlement lui procure des décharges intenses qui se répandent comme une traînée de poudre incendiaire dans son ventre aux abois. La gamine oublie presque la présence du chauffeur, elle ne peut malgré tout réfréner un sentiment de honte à s’exhiber, si volage sous son ensemble fragile, qui apparaît lentement par l’échancrure de l’imper.

Le noeud de la ceinture se relâche petit à petit sous les ondulations du bassin de la gamine. Élodie se perd dans son délire sexuelle, noyée du plaisir que lui procure le jouet vibrant. Lorsqu’ils sortent de l’autoroute A1 pour remonter vers le nord, la jeune fille a les cuisses écartées et les seins dévoilés. Les doigts de sa main gauche s’enfournent entre les replis huileux de sa chatte tout en se massant le pubis et le clito du plat de la main.

Elle tire sur la pointe de ses seins tuméfiés de plaisir douloureux, soulève la masse flasque de ses mamelles en poire, et gémit en se mordant la lèvre, la tête en arrière. Les odeurs métalliques et les bruits visqueux se dégageant de sa chatte en chaleur occupent maintenant tout l’habitacle et déclenche l’érection du chauffeur qui a de plus en plus de mal à se concentrer sur la route devant lui.

Soudain, les vibrations s’interrompent et le smartphone résonne, la tirant de sa torpeur délirienne.

*PING* <C’est bon arrête toi et envoie moi ton vocal!>

Et l’écran redevient noir lorsque le VTC s’arrête enfin à l’entrée du clos-saint-lazar. Élodie tente de reprendre ses esprits et remet son trench en place. Elle sort un mouchoir en papier pour s’essuyer les mains, mais son regard croise celui du moustachu dans le rétro:

-TSK TSK TSK …. Les petites salopes ça se nettoie en se lèchant les doigts!

La gamine n’en revient pas de l'aplomb du gros sac!

-Nan mais vous m’avez pris pour qui?

-Ecoute moi p’tite salope: soit tu lèches tes doigts trempés, soit j’te lourde ici!

Élodie remarque alors les tours au loin derrière les platebandes de fleurs à peine éclairées par quelques lampadaires de la rue. Elle se résigne à obtempéré lorsqu’elle observe la faune alentour avec les groupes de jeunes banlieusards en jogging, claquette chaussette et leur sacs ridicules en bandoulière.

-Applique toi p’tite pute sinon j’ouvre la portière et j’en fais rentrer trois!

Putain elle est encore à la merci d’un gros porc, mais son petit cerveau cogite et une idée prend frome dans son esprit:

-Très bien mon salop! Tu veux d’la pute?

Sensuellement, elle commence à lécher ses doigts du bout de la langue tout en lui caressant le bras épais et, somme toute, plutôt balaise:

-Oui, montre moi à quel point tu es une bonne grosse pute!

Elle lui sourit, complice:

-Mais une pute ça se fait payer, non?

Le regard du chauffeur s’allume:

-OK, pompe moi le dard comme la salope que t’es et je compte pas la course!

Elle glisse son doigt humide le long de ses lèvres brillantes de gloss, et conclut en écartant à nouveau les cuisses pour se caresser en douceur:

-Je préviens mon mac et je te suce en attendant qu’il arrive! …. Elle fait une pause …. Mais avec une capote!

Il considère la proposition et conclut le deal en la rejoignant sur la banquette arrière. Elle a tout juste le temps de prévenir Romu que le gros moustachu a déjà fait le tour de sa voiture pour la rejoindre, sa bite courte et trapue déjà à l’air.

De sa grosse paluche velue, il att la jeune fille par la queue de cheval et lui plante sa bite aux relents de foutre séché et de pisse, dans la bouche. Il maintient le doux visage poupon contre sa virilité qui pousse entre les lèvres charnues et brillante. Les poils pubiens puant chatouillent le petit nez retroussé chaussé de ses lunettes:

-Oui c’est suce moi bien p’tite pute!

Et il ondule du bassin, tout excité par cette petite chaudasse qui n’essaye même pas de se soustraire de la poigne de fer:

-Montre moi un peu ce que tu caches ici? Lui dit’il en soulevant les pans du trench pour exposer son cul rebondi.

Élodie n’en revient pas! Ce groc porc lui baise la bouche, claquant son doux visage contre le gras de son bide, et elle aime ça? Les odeurs, les goûts âcre et acidulés la rende dingue. Lorsqu’il lui plante finalement un, puis deux doigts dans sa petite pastille tendue, elle glousse de bonheur, la bouche pleine de la grosse tige épaisse. Elle qui pensait que les gros avaient des petites bites, elle n’est pas déçue. Mais elle doit se grouiller, elle ne sait pas quand Romu va arriver et si elle peut remplir une première capote, c’est toujours ça de pris.

La petite s’applique à pomper le dard de se gros porc. Elle lui aspire le gland et glisse sa langue frétillante tout autour de frein dégagé du gland gonflé de son amant de fortune. La gamine ondule du cul pour mieux l’aligner avec les doigts boudinés de son fouilleur d’anus. Elle glisse ensuite ses mains sous les burnes tendues tout en lui astiquant le manche gluant de bave.

Après quelques minutes de ce pompage gourmand, elle le sent gonfler et frétiller contre son palais. Elle refuse qu’il lui gicle dans la bouche, elle a bien trop besoin de cette dose pour son esquimau de sperme. La gamine se débat soudain, et parvient à se dégager de l’étreinte du moustachu en faisant mine de se rebeller:

-Putain! Connard! J’t’avais dit avec capote!

-Vas-y p’tite pute j’ai bien senti que t’aimais ça! T’as déjà failli m’faire gicler tellement tu suces bien!

-C’est pas l’sujet putain! J’te connais pas, et je sais pas où tu la fourres ta queue!

-OK, c’est bon si tu y tiens! Et il att le sac à main de l’ado, dans l’espoir d’y trouver les capotes auquelles elle tient tellement.

Élodie n’a pas le temps de le retenir qu’il brandit triomphant les deux godes de la gamine!

-Merde alors! Tu déconnes pas toi! Viens un peu par ici!

Un Regard de bête illumine son visage bouffi et il l’att à nouveau par la queue de cheval pour la planter le gode à manche dans la bouche:

-Lubrifie moi ça en me mettant ton plastique de merde, poufiasse!

La belle lubrifie au mieux la tige de vynil et déroule la capite un peu trop petite sur la bite tendue avant de l’aspirer à son tour, laissant libre accès à son petit cul. Le gros moustachu ne se fait pas prier, il claque violemment le cul de la belle avant de malaxer sa fesse rosie de la trace de sa paluche d’ex routier. Il plante le gode en poussant sans discontinuer.

Toute à son oeuvre buccale, la petite brune pousse comme si elle chiait, afin de faciliter le passage tendu du sex toy dans ses entrailles puantes.

-C’est ça p’tite pute! Suce bien papa! Fait moi jouir pendant que j’te défonce le trou!

Élodie convulse de plaisir lorsque la garde du sextoy claque contre son cul tendu, Le vieux vient de la planter et se met à l’enculer avec force et puissance avec son gode magique. Elle sent les longues veines saillantes du sex toy glisser contre ses muqueuses anales, le gros gland saillant écarte ses intestins tendus, et la bite enrobée de latex glisse librement entre ses lèvres charnues au rythme des ondulations du bassin du gros porc à moustache. L’adolescente se met à onduler de plaisir et elle est sur le point de jouir lorsque le moustachu lui plante sa bite et le gode à fond dans leurs trous respectifs. Il interrompt soudain l’extase de la gamine qui sent le réservoir du préservatif gonfler dans sa gorge tendue.

Frustrée de ne pas jouir, la petite brune, le nez plaqué dans le bas ventre du gros pervers, et la gorge obstruée par la bite mollissante, se bat pour reprendre de l’air. Le chauffeur libère finalement la tête de la petite, qui en profite pour se relever pour reprendre son souffle. Il retire le gode de son petit cul, déclenchant une décharge de plaisir se propageant dans le corps frissonnant de la belle à la bouche grande ouverte:

-Suce moi ça poufiasse! Et il lui plante le gode luisant de ses propres jus intimes entre les lèvres en un simulacre de pipe “ass to mouth”!

La petite, toujours frustrée, se caresse la chatte en suçant le sex toy odorant, afin de se faire jouir elle même, mais Romuald toque à la vitre embuée du véhicule. Par réflexe pudique, Élodie recouvre son corps des deux pans de son trench: “Putain l’enfoiré! Mais depuis quand il est là?”

-Tiens petite pute, récupère moi cette merde avant que ça salope ma banquette! Il lui tend le préservatif qu’elle s’empresse de fermer du noeud avant de le ranger dans sa pochette avec ses deux godes.

Sans autre mot, la belle sort du VTC, et rejoint le grand black en claquant la portière derrière elle et en attachant la ceinture de son ¾.

-J’espère que tu me noteras bien! Plaisante le gros moustachu en reprenant le volant.


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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